• Juin 2006

    Le projet de loi sur le développement de la participation et de l’actionnariat salarié est discuté au Parlement français en juin. Finalement, le blocage obligatoire de l’épargne salariale pendant cinq ans sera maintenu. Tout au plus les salariés pourront-ils demander une « avance » sur leur épargne... moyennant le paiement d’un intérêt. Les exonérations d’impôts et de cotisations, elles, sont toujours aussi importantes.

    La suite sur le site du monde diplomatique.

    http://www.monde-diplomatique.fr/2006/06/REMOND/13566

     


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  • AFP 11.10.06 | 17h53

    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p>Cinq nouvelles concessions autoroutières "vont être lancées, se poursuivre ou s'achever dans les prochains mois", a indiqué mercredi Patrice Parisé, directeur général des routes au ministère des Transports et de l'Equipement. Le projet le plus avancé est celui de l'A65, une liaison de 145 km entre l'A62 au sud de Bordeaux et l'A64 à Pau, pour un coût d'environ 1 milliard d'euros, a-t-il indiqué au cours d'une conférence de presse. Les discussions engagées avec le groupement A'lienor, détenu à 65% par Eiffage et à 35% par la Sanef, ont abouti le 27 septembre. Aucune subvention publique ne sera nécessaire pour le financement, la construction et l'exploitation de l'autoroute: ils seront assurés aux risques et périls du concessionnaire. L'objectif est de publier le décret d'utilité publique et celui du contrat de concession avant la fin de 2006 pour une mise en service avant fin 2010. La remise des offres pour l'A150 en Haute-Normandie, 18km entre Croix-Mare et Barentin, soit la dernière section de l'itinéraire Lyon-Le Havre, au coût estimé de 200 millions d'euros, devrait intervenir au début 2007, pour une signature de contrat de concession à l'été de la même année. La signature du contrat de concession pour l'A88 en Basse-Normandie est prévue pour la fin de l'année 2007. Il s'agit de la réalisation de 46 km d'autoroute entre Falaise et Sées, soit l'itinéraire entre Caen et l'A28 pour un coût estimé de 320 millions d'euros. Le coût de la mise aux normes autoroutières de l'A63 dans les Landes, soit 105 km entre Salles et Saint-Géours-de-Maremne, est estimé à près de 400 millions d'euros. L'objectif est de signer le contrat de concession à la fin de l'année 2007. Il s'agit d'un axe très fréquenté et très accidentogène qui sera transformé en autoroute à péage avec des passages ouverts pour les déplacements de courtes distances des locaux. Enfin, pour le grand contournement ouest de Strasbourg, projet de 24 km dont le coût est estimé à plus de 420 millions d'euros, la déclaration d'utilité publique devrait être signée au deuxième trimestre 2007 et le contrat de concession au 1er septembre 2008. Le réseau autoroutier national, placé sous la responsabilité de l'Etat, est constitué de 10.800 km, concédés et non-concédés.</o:p>


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    <v:shapetype id=_x0000_t172 path="m0@0l21600,m,21600l21600@1e" adj="12000" o:spt="172" coordsize="21600,21600"><v:formulas><v:f eqn="val #0"></v:f><v:f eqn="sum 21600 0 @0"></v:f><v:f eqn="prod #0 1 2"></v:f><v:f eqn="sum @2 10800 0"></v:f><v:f eqn="prod @1 1 2"></v:f><v:f eqn="sum @4 10800 0"></v:f></v:formulas><v:path o:connectangles="270,180,90,0" o:connectlocs="10800,@2;0,@3;10800,@5;21600,@4" o:connecttype="custom" textpathok="t"></v:path><v:textpath fitshape="t" on="t"></v:textpath><v:handles><v:h position="topLeft,#0" yrange="0,15429"></v:h></v:handles><o:lock shapetype="t" text="t" v:ext="edit"></o:lock></v:shapetype><v:shape id=_x0000_s1028 style="MARGIN-TOP: 8.6pt; Z-INDEX: 3; LEFT: 0px; MARGIN-LEFT: -100.15pt; WIDTH: 90.15pt; POSITION: absolute; HEIGHT: 17.55pt; TEXT-ALIGN: left" type="#_x0000_t172" adj="8400" fillcolor="black"><v:shadow color="#868686"></v:shadow><v:textpath style="FONT-FAMILY: 'Times New Roman'; v-text-kern: t" string="Autoroutes" fitpath="t" trim="t"></v:textpath></v:shape> Syndicat SUD – Autoroutes<o:p></o:p>

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    - 11 OCTOBRE 2006 -<o:p></o:p>

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    Privatisation des autoroutes : réaction de SUD Autoroutes à la propagande gouvernementale diffusée dernièrement dans la presse nationale<o:p></o:p>

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    Dans son édition du 09 octobre 2006, le quotidien national LE FIGARO, présentait de façon très positive l’après privatisation du secteur autoroutier. <o:p></o:p>

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    Parmi un flot de contre vérités notoires, nous relevons tout d’abord que selon ce journal, la privatisation n’a pas eu d’incidence sur les tarifs de péage : or, le 1er octobre dernier, Autoroutes Paris Rhin Rhône a augmenté ses tarifs de + 2,47%, soit l’une des hausses les plus fortes de ces dernières décennies (la fédération des transporteurs routiers s’en est d’ailleurs émue).<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Ce même quotidien annonce dans une totale subjectivité que sur nos autoroutes, « le service s’est amélioré » : nous aimerions savoir quelles enquêtes ont été menées sur le terrain par Le Figaro afin d’apporter un jugement aussi catégorique. Les clients des sociétés SANEF, ASF et APRR auront surtout noté une totale dégradation du service lors de leur arrivée aux péages, avec des postes de péage entièrement automatisés ou bien un délai d’attente interminable sur des barrières de péage où le personnel n’a cessé de diminuer depuis la privatisation de notre secteur. Ceci est induit par une politique d’automatisation des péages menée aux forceps par les Directions des sociétés autoroutières, avec tout ce que ceci entraîne comme conséquences sociales pour les salariés.<o:p></o:p>

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    Le Figaro fait état d’une « prime d’intéressement de 1.000 euros » versée à chaque salarié : ceci ne constitue aucunement un « cadeau » des repreneurs du secteur autoroutier envers les salariés, puisque cette prime de 1.000 euros bruts est en fait une initiative gouvernementale à l’échelon national afin de contrecarrer la chute du pouvoir d’achat des Français. Quant au prétendu renforcement des dispositifs de plan d’épargne, il s’agit là encore d’une contre vérité puisque dans une entreprise comme APRR les plans d’épargne entreprise ont toujours existé, à son arrivée à la tête d’APRR Eiffage à mis en place sa Sicavas d’entreprise en lieu et place des Plans d’Epargne Crédit Mutuel et InterExpansion, ces deux derniers n’entraînant plus aucun abondement lors d’un versement par les salariés : le dispositif d’épargne salarié post-privatisation se veut donc bien moins intéressant qu’auparavant. Sur le climat social, nous rappellerons simplement qu’un Droit d’alerte a été déclenché il y a peu chez APRR par les trois plus importantes organisations syndicales. Le Figaro semble l’ignorer…<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Dans sa conclusion, le Figaro se permet de citer un salarié anonyme ( !) qui aurait déclaré : « je travaille moins et je suis payé plus » (ce qui constitue comme chacun le sait la base du libéralisme et le credo du secteur privé qui enjoint ses salariés à travailler le moins possible en les payant le plus possible…). S’agissant de cette journaliste du Figaro, au vu de la piètre qualité de son article, nous aurions souhaité qu’elle soit payé moins et qu’elle travaille davantage ce qui aurait rendu sa démarche un peu moins partisane et un peu plus crédible…<o:p></o:p>

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    CONTACTS    SUD - Autoroutes :<o:p></o:p>

    Jean Pierre CAMPANATO : 06.14.63.65.72.<o:p></o:p>

    Raphaël WOLFF : 06.86.77.94.08.


    Article du figaro

     

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    ODILE COUPÉ.<o:p></o:p>

     Publié le 09 octobre 2006<o:p></o:p>

    Actualisé le 09 octobre 2006 : 06h00<o:p></o:p>

    UN AN APRÈS En octobre 2005, le processus de vente des concessionnaires d'autoroutes battait son plein. Ce n'est qu'au printemps 2006 que les nouveaux propriétaires ont pris possession de ces entreprises. Les premiers changements sont déjà notables. <o:p></o:p>

     <o:p></o:p>

    IL AURA fallu quatre ans au gouvernement français pour mener à bien la privatisation des Autoroutes du Sud de la France (ASF), de la Société des autoroutes du Nord et de l'Est de la France (Sanef) et des Autoroutes Paris-Rhin-Rhône (APRR). Le processus est lancé en octobre 2001 par le socialiste Laurent Fabius, alors ministre des Finances. Il ne concerne qu'ASF dont 49 % du capital sont mis en Bourse dès mars <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:metricconverter w:st="on" ProductID="2002. L">2002. L</st1:metricconverter>'opération rapporte 1,8 milliard d'euros à l'État. <o:p></o:p>

     <o:p></o:p>

    Pierre Raffarin est le théâtre d'un affrontement entre le ministre des Transports, Gilles de Robien, et celui de l'Économie, Francis Mer. Le premier estime que les dividendes des sociétés d'autoroutes rapporteront 5 milliards d'euros à l'État en vingt ans. De son côté, le ministre de l'Économie évalue à 8 milliards d'euros le montant de la vente des 51 % restants d'ASF et de la totalité de Sanef et APRR. Au mois de décembre, le premier ministre gèle tout projet. <o:p></o:p>

     <o:p></o:p>

    En juin 2005, Dominique de Villepin relance le processus... et <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la polémique. Parlementaires">la polémique. Parlementaires</st1:PersonName> et économistes rouvrent le débat sur la valorisation des autoroutes. François Bayrou, le président de l'UDF, dépose un recours devant le Conseil d'État pour excès de pouvoir (il vient d'être débouté). Finalement, la vente est réalisée et rapporte à l'État 14,8 milliards d'euros. <o:p></o:p>

     <o:p></o:p>

    Quelques mois après la privatisation effective, qu'est ce que cette privatisation a vraiment changé ? <o:p></o:p>

     <o:p></o:p>

    La privatisation des sociétés d'autoroutes n'a pas eu d'incidence sur les prix des péages. Les modalités d'augmentation des tarifs sont définies dans les contrats de concession. De ce fait, les prix sont régulés par l'État. Dans le cas d'APRR, les prix ont été fixés dans un contrat pluriannuel négocié par l'ancienne direction avec l'État. Leur hausse ne peut excéder 70 % de l'inflation. « Nous avons le droit d'augmenter les tarifs de nos péages une seule fois par an, et cette hausse est plafonnée par notre cahier des charges de concession », indique pour sa part Henri Jannet, président de Sanef. <o:p></o:p>

     <o:p></o:p>

    Un service amélioréEn revanche, pour vendre ses parts aux groupes Eiffage, Abertis et Vinci, l'État a exigé, en contrepartie, que la qualité du réseau ou du service rendu aux usagers soit améliorée. « Nous avons désormais deux priorités, explique Jean-François Roverato, PDG d'Eiffage et d'APRR. Accueillir les poids lourds en toute sécurité sur les parkings de nos aires d'autoroutes et rendre du cachet à celles qui n'en ont pas. » L'investissement total pèsera près d'une dizaine de millions d'euros. « Notre stratégie est d'utiliser certaines de nos aires comme l'aire des Volcans sur l'A71 [la plus fréquentée entre Paris et Montpellier, Ndlr] comme produits d'appel touristico-commercial », poursuit le patron du numéro trois français du BTP. Et de rendre attractives celles qui ne le sont pas encore, comme l'aire de Beaune sur l'A6. <o:p></o:p>

     <o:p></o:p>

    Henri Jannet, de son côté, souhaite développer le télépéage sans arrêt pour les poids lourds. « Un poids lourd qui est obligé de s'arrêter consomme <st1:metricconverter w:st="on" ProductID="2 litres">2 litres</st1:metricconverter> de gazole de plus, explique-t-il. Ce système de télépéage sans arrêt lui permettra de diviser sa consommation par deux. » Ce projet devrait aboutir au plus tôt fin 2007. Les véhicules légers qui empruntent le réseau Sanef et qui sont munis du télépéage pourront en outre, dès le début de l'année prochaine, circuler tant sur les autoroutes françaises qu'espagnoles avec le même badge. Le groupe a créé pour cela une filiale commune avec Abertis. Enfin, « pour compléter la bonne desserte de son réseau », la société ouvrira deux nouveaux échangeurs en fin d'année. Vinci, quant à lui, a hérité du réseau le plus emprunté et le plus avancé en termes d'entretien et de travaux. <o:p></o:p>

     <o:p></o:p>

    Prime d'intéressement de 1 000 euros par personne, renforcement des dispositifs de plan d'épargne, stock-options pour les cadres dirigeants d'ASF et Escota... Les salariés d'ASF, APRR et Sanef ont reçu quelques cadeaux de bienvenue pour leur arrivée dans le giron des groupes Vinci, Eiffage et Abertis. « Je travaille moins et je suis payé plus », confie même l'un d'entre eux. <o:p></o:p>

     <o:p></o:p>

    Les équipes d'APRR sont ainsi devenues actionnaires d'Eiffage à hauteur d'environ 1 %. Logique, dans un groupe où les salariés détiennent au ­total plus d'un cinquième du ­capital. <o:p></o:p>

     <o:p></o:p>

    « Ces salariés sont toujours dans un service public mais régi par les règles du privé », résume Jean-François Roverato. L'intégration s'est déroulée sans heurts, et le patron d'Eiffage a pris soin de consulter régulièrement les syndicats. En fait, chez APRR, seul le PDG Rémy Chardon a fait les frais de <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la privatisation. Il">la privatisation. Il</st1:PersonName> faut dire qu'il avait ouvertement soutenu l'un des concurrents d'Eiffage, le consortium mené par Autostrade. Il a rebondi depuis chez le groupe espagnol de transports de conteneurs Progosa. <o:p></o:p>

     <o:p></o:p>

    Tous les salariés ­maintenus en posteChez ASF, tous les salariés ont été maintenus en poste. « Un mois après le rachat d'ASF, raconte Xavier Huillard, directeur général de Vinci, nous avons organisé une convention de deux jours au cours de laquelle toutes les équipes ont été mises en présence. Les nouveaux arrivants ont rapidement pu découvrir la vision du groupe dans lequel ils entraient. » Les salariés des Autoroutes du sud de la France ont par ailleurs très largement souscrit au plan d'épargne Castor, qui leur donnait la possibilité d'acheter des actions au prix de 50 euros alors qu'elles cotaient entre 80 et 85 euros à la Bourse de Paris. Ils détiennent ainsi 11,8 % du capital de Vinci. <o:p></o:p>

     <o:p></o:p>

    Quant à Sanef, seul le conseil d'administration a été renouvelé. « Nous avons mis en place des groupes d'échange d'expérience par thème, qui se sont rencontrés et ont travaillé ensemble très régulièrement, en France et en Espagne, précise Henri Jannet. Nous avons renforcé le plan d'épargne du groupe en souscrivant à un fond éthique. »<o:p></o:p>

    </o:p>

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  • Afin de mieux nous connaître, voici les présentations de chacun des membres du bureau.

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