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    A T T A C - I S E R E

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    ALERTE AUX OGM A BOURGOIN-JALLIEU

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    Projets d’essais en plein champ au printemps 2007

    NON AUX OGM Pourquoi ?

    OGM = risques alimentaires : ingestion de toxines inconnues aux effets non évalués.

    OGM = risques environnementaux : contamination dans le sol et dans l’eau. Dissémination sur les autres cultures. Menace sur la biodiversité.

    OGM = atteinte au maintien de l’agriculture paysanne et biologique.

    Atteinte à la liberté de choix des producteurs et des consommateurs.

    Le Conseil municipal de Bourgoin-Jallieu dit NON Le Conseil Général de l’Isère dit NON Le Conseil Régional dit NON Le Collectif d’associations et de citoyens dit NON

    Il faut savoir que :

    * le ministère vient de donner son autorisation pour 13 cultures OGM sur les 14 proposées dont les 7 essais OGM de Monsanto sur 2 parcelles à Bourgoin.

    Le lieu d'essai n'est pas communiqué.

    * Des décrets d'application de la directive Européenne de 2001 (non vôtée et non débattue au Parlement)concernant les cultures OGM en pein champ viennent d'être promulgués au journal officiel et sont donc applicables.

     

    MANIFESTATION LE SAMEDI 24 MARS 2007

    Journée mondiale contre les OGM

    Rejoignez-nous à 14h30 - Parking Diéderich - BOURGOIN-JALLIEU Par le train, Grenoble 13h15, Voiron 13h34, Bourgoin-Jallieu 14h15.

    Par la route, rendez-vous covoiturage à l'esplanade (porte de France) à 13h30.

    Tract pour cette manifestation :

    http://www.local.attac.org/attac38/tmp/OGM_24mars2007.pdf

    -----

    Liste Information ATTAC Isère - attac38@attac.org

    Une question technique ? web.attac38@attac.org

    IMPORTANT ! Adhérents internautes diffusez SVP ces infos auprès

    des adhérents et sympathisants qui n\'ont pas accès au Ouèbe.

    Attac 38 vous remercie pour votre aide.


    ALERTE AUX OGM A BOURGOIN JALLIEU
     
     
    Le ministère de l'agriculture vient d'accéder à la demande de Montsanto, d'expérimentation en plein champ de maïs OGM sur le territoire de la commune de BOURGOIN JALLIEU.
     
    Le Conseil municipal de BOURGOIN,
    Le Conseil Général de l'Isère,
    Le Consei Régional, disent NON 
     
    A l'occasion de la journée mondiale contre les OGM
     
    UNE  MANIFESTATION  AURA LIEU LE SAMEDI 24 MARS 2007 A 14H30 A BOURGOIN JALLIEU
    RASSEMBLEMENT AU PARKING DIEDERICH.
     
     
    à l'appel de :
     
    AMAP - BLE - ADABIO38 - ADTPE(Trept) - Apiculteurs 38 - Apiculteurs BIO - AGRIBIO - GEBJ - FRAPNA - Lo Parvi - Que choisir ? - Confédération paysanne Isère - Syndicat des Apiculteurs professionnels de Rhône Alpes - Autour (La Tour du Pin) - Nature et vie sociale (Villefontaine) - ATTAC - Stop OGM 73 - La Ville de Bourgoin Jallieu -Les Verts Isère - Le Parti Socialiste de l'Isère

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  • Communiqué Ras l’front du 15 mars 2007

    Lucie Aubrac est décédée. C’est une grande figure de la résistance au fascisme qui disparaît. C’est aussi une amie, une complice de Ras l’front, toujours présente à nos côtés, du lancement du mouvement et du journal aux dernières heures où elle sillonnait encore les routes du pays pour témoigner, et faire vivre cette phrase qu’elle nous a transmis en héritage : « Le mot résister doit toujours se conjuguer au présent ».

    Toutes celles et tous ceux qui l’ont vu animer des meetings et autres réunions de Ras l’front, prendre la parole devant des écoliers ou des collégiens, se souviennent de son dynamisme et de son franc-parler, de son énergie, de sa conviction, de sa volonté pour transmettre son expérience tout autant que les leçons de l’histoire. Inlassablement, elle nous incitait à lutter sur tous les terrains pour contrer l’intolérance, le racisme et la progression des idées d’extrême droite.

    D’une gentillesse et d’une modestie sans égale, elle ne cessait de nous répéter qu’il y avait deux choses très importantes à retenir de la période de la Résistance : tout d’abord la grande part prise par les femmes dans ce combat. Ensuite que la Résistance n’était pas le fait de « héros » mais d’obscurs acteurs accomplissant de petits gestes quotidiens, anodins mais indispensables. Surtout ne pas se résigner, surtout ne pas transiger.

    Cette foi dans ces valeurs essentielles, Lucie nous l’a transmise et nous avons cheminé longtemps à ses côtés.

    Militante jusqu’à la fin de sa vie, elle incarne la lutte pour la liberté, la lutte contre toutes les oppressions, tous les totalitarismes. Le réseau Ras l’front vient de perdre une grande militante et une grande amie qui reste pour de nombreux collectifs « leur marraine ». Nous saluons et manifestons toute notre affection et notre émotion à Raymond, son compagnon, résistant lui aussi tout au long de sa vie.

    Merci Lucie.

    Ras l’front, 15 mars 2007


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  • 23.02.2007

    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    ACCORD COLLECTIF NATIONAL DE BRANCHE RELATIF À LA CESSATION ANTICIPÉE D’ACTIVITÉ DE CERTAINS TRAVAILLEURS  SALARIÉS  (CATS)

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    Entre les organisations syndicales de salariés :

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    - la Fédération Générale des Transports et de l’Equipement CFDT  représentée par M. Floréal PINOS 

    - la Fédération Générale CFTC des Transports  représentée par M. Jean Philippe CATANZARO 

    - la Fédération CFE-CGC-BTP  <o:p></o:p>

    représentée par M. Jacques THOUMAZEAU

    - la Fédération Nationale des Syndicats de Transports CGT  représentée par  M. Bernard JEAN

    - la Fédération de l’Equipement, de l’Environnement, des Transports et des Services FO

    représentée par M. Michel LE MEDO

    - la Confédération Nationale des Salariés de France - CNSF  représentée par M. Clément BULMÉ 

    - la Fédération Autonome des Transports FAT/UNSA  représentée par M. Frédéric OSTUNI

    - le Syndicat SUD Autoroutes

    représenté par M. Jean-Pierre CAMPANATO

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    d’une part,

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    Et   l’Association   professionnelle   des   sociétés   françaises   concessionnaires   ou  exploitantes d’autoroutes ou d’ouvrages routiers:

    Ci-après désignée « ASFA »,  <o:p></o:p>

    représentée par son Président de la Commission Sociale, M. Jean-Marc DENIZON 

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    d’autre part,



    Le 27 juin 2006, le syndicat professionnel d’employeurs et sept organisations syndicales

    de salariés ont signé la première convention collective nationale de branche des sociétés  concessionnaires  ou  exploitantes  d’autoroutes  ou  d’ouvrages  routiers ;  une  huitième  organisation syndicale de salariés a adhéré à cette convention collective le 29 août 2006.

    Dans   le   protocole   d’intentions   communes   qui   avait   été   conclu   le   13   juin   2006  préalablement à la signature de la convention collective nationale de branche,  il avait été  notamment  prévu  que  le  syndicat  professionnel  d’employeurs  se  proposerait  d’engager  des  démarches  auprès  des  administrations  compétentes  afin  de  permettre  à  certains  salariés  âgés  de  pouvoir  bénéficier  du  dispositif  de  cessation  anticipée  d’activité  de  certains travailleurs salariés (CATS) et qu’en fonction des réponses apportées par lesdites  administrations concernant notamment les catégories de salariés éligibles, il convierait les  organisations syndicales de salariés à une négociation sur ce thème.

    Les parties signataires du protocole d’intentions communes avaient en effet estimé que,  <o:p></o:p>

    eu  égard  aux  missions  incombant  aux  entreprises  de  la  branche  qui  se  traduisent  notamment  par  le  fonctionnement  en  continu  ou  semi-continu  de  plusieurs  de  leurs  activités principales, le dispositif dénommé « CATS » codifié à l’article R. 322-7-2 du Code  du  travail  pouvait  répondre,  pour  partie,  au  souhait  partagé  de  permettre  à  des  salariés  âgés ayant exercé des emplois pénibles au sens de l’article R. 322-7-2 du Code du travail,  d’anticiper la fin de leur carrière, s’ils le souhaitaient. 

    C’est  dans  ce  cadre  qu’ont  été  engagées  des  négociations  relatives  à  la  cessation  anticipée  d’activité  (CATS),  étant  rappelé  qu’à  la  suite  de  la  fusion  intervenue  le  6  décembre 2006, entre le syndicat professionnel d’employeurs précité et l’Association des  Sociétés Françaises d’Autoroutes, cette association, dont les statuts ont été modifiés en  conséquence,  a  intégralement  repris  les  droits  et  obligations  du  syndicat  professionnel  d’employeurs.

    A l’issue de trois commissions paritaires qui se sont tenues respectivement les 18 janvier,  8 février et 22 février 2007,   

    Il a été convenu ce qui suit :

    ARTICLE  1  : OBJET

    Le présent accord est conclu en application de l’article R. 322-7-2 du Code du travail relatif  à la cessation anticipée d’activité de certains travailleurs salariés.

    ARTICLE  2  : CONDITIONS GÉNÉRALES D’APPLICATION 

    Le présent accord est applicable aux entreprises entrant dans le champ d’application de la  convention collective nationale de branche des sociétés concessionnaires ou exploitantes  d’autoroutes ou d’ouvrages routiers :

    -  qui  concluent  un  accord  d’entreprise  de  cessation  anticipée  d’activité  prévoyant  les  modalités d’application du présent accord professionnel, ainsi que, après consultation du  comité d’entreprise ou à défaut des délégués du personnel, des dispositions relatives à la  gestion prévisionnelle de l’emploi, au développement des compétences (GPEC) de leurs  salariés et à leur adaptation à l’évolution de leur emploi, étant précisé que les dispositions  relatives à la GPEC peuvent également faire l’objet d’un accord séparé ;

    -  et  dès  lors  qu’une  convention  de  prise  en  charge  partielle  de  l’allocation  versée  aux  salariés bénéficiaires ayant adhéré personnellement au dispositif est conclue entre l’État,  l’entreprise et l’organisme gestionnaire désigné à l’article 8 du présent accord.



    ARTICLE  3 : CONDITIONS À REMPLIR PAR LES SALARIÉS

    Pour pouvoir bénéficier du dispositif de cessation anticipée d’activité, le salarié doit remplir  les conditions cumulatives énoncées aux paragraphes 3-1 à 3-5 ci-après.

    3-1. Adhésion personnelle 

    Le salarié doit adhérer personnellement à ce dispositif.

    3-2. Conditions d’âge

    Le salarié doit être âgé d’au moins 57 ans et de moins de 65 ans à la date d’adhésion.

    3-3. Conditions d’ancienneté

    Il doit avoir été salarié de l’entreprise de manière continue pendant un an au moins avant  son adhésion au dispositif, et justifier d’une ancienneté cumulée d’au moins 5 ans dans la  branche composée des entreprises entrant dans le champ d’application de la convention  collective nationale de branche visée à l’article 2 du présent accord.

    3-4. Conditions d’emploi 

    Le salarié doit :

    - soit avoir accompli 15 ans de travail à la chaîne au sens du c de l'article 70-3 du décret  <o:p></o:p>

    du 29 décembre 1945 dans sa rédaction issue du décret nº 76-404 du 10 mai 1976 ou de  travail en équipes successives (2x8, 3x8), soit avoir travaillé habituellement 200 nuits ou  plus  par  an  pendant  15 ans ;  il  est  précisé  que  le  salarié  qui,  au  cours  de  sa  carrière  professionnelle a notamment tenu, tantôt des postes de travail à la chaîne ou encore des  postes en équipes successives, tantôt des postes de travail de nuit à raison de 200 nuits  par an, est également éligible au dispositif de cessation anticipée d’activité sous réserve  que la durée cumulée de ces différents postes de travail soit au moins égale à 15 ans ;

    - soit, s'il est travailleur handicapé au sens de l'article L. 323-3 du Code du travail à la  date d'entrée en vigueur du présent accord professionnel, justifier d'au moins 40 trimestres  valables pour la retraite au sens des articles R. 351-3, R. 351-4, R. 351-12 et R. 351-15 du  Code de la sécurité sociale, dans un ou plusieurs régimes de sécurité sociale de salariés.

    3-5. Autres conditions

    Lors de l’adhésion au dispositif le salarié ne doit pas réunir les conditions nécessaires à la  validation d'une retraite à taux plein au sens de l'article R. 351-27 du Code de la sécurité  sociale ou de l'article R. 351-45 du même code.

    Pendant la durée d’adhésion au dispositif :

    - le salarié ne doit exercer aucune autre activité professionnelle ;

    - il ne doit bénéficier ni d'un avantage vieillesse à caractère viager acquis à titre personnel  liquidé  après  l'entrée  dans  le  dispositif,  ni  d'une  indemnisation  versée  en  application  de  l'article L. 351-2 du Code du travail, du I de l'article R. 322-7 du même code, ou de la loi  nº 96-126 du 21 février 1996 portant création d'un fonds paritaire en faveur de l'emploi.



    3-6. Salariés bénéficiant de la préretraite progressive

    Les  salariés  qui  bénéficient  déjà  de  la  préretraite  progressive,  en  application  de  l’article  L. 322-4 du Code du travail, pourront opter, au moment de la signature par l’entreprise de  l’accord de cessation anticipée d’activité, pour le dispositif défini par le présent accord, s’ils  remplissent par ailleurs les conditions fixées ci-dessus.

    Le salaire de référence pour le calcul de l’allocation de remplacement définie à l’article 7  du présent accord professionnel est celui qui a servi de base au versement des allocations  de  préretraite  progressive  revalorisé,  le  cas  échéant,  dans  les  conditions  prévues  aux  articles 1   et 2 du décret n°98-1024 du 12 novembre 1998.

    ARTICLE  4 : PÉRIODE D’ADHÉSION DES BÉNÉFICAIRES

    La  période  pendant  laquelle  les  salariés  peuvent  adhérer  aux  mesures  de  cessation  d’activité  est  fixée  à  5  ans  à  compter  de  la  date  d’entrée  en  vigueur  de  l’accord  professionnel de cessation anticipée d’activité.

    ARTICLE 5 : PROCÉDURE D’ADHÉSION DES BÉNÉFICAIRES

    La procédure et les modalités d’adhésion des bénéficiaires au dispositif sont définies dans  les accords propres à chaque entreprise.

    ARTICLE 6 : STATUT DES BÉNÉFICIAIRES

    Les  bénéficiaires  du  présent  dispositif  de  cessation  anticipée  d’activité  conservent  la  qualité de salarié de l’entreprise, leur contrat de travail étant suspendu pendant la ou les  périodes de cessation d’activité.

    ARTICLE  7 : ALLOCATION DE REMPLACEMENT

    7-1. Modalités de calcul

    Pendant   toute   la   durée   de   la   suspension   de   leur   contrat   de   travail,   les   salariés  bénéficiaires   de   la   cessation   d’activité   perçoivent   une   allocation   de   remplacement  correspondant à 65 % du salaire de référence déterminé conformément à l’article R. 322- 7-2 VII 2°, alinéa 2 du Code du travail  pour la part n’excédant pas le plafond de la sécurité  sociale, auxquels s’ajoutent 50 % du même salaire de référence pour la part de ce salaire  comprise  entre  une  et  deux  fois  ce  même  plafond.  Conformément  aux  dispositions  réglementaires en vigueur, le salaire de référence est déterminé d’après les rémunérations  sur lesquelles ont été assises les contributions au régime d’assurance chômage au titre  des douze derniers mois civils précédant l’adhésion au dispositif de cessation d’activité.

    7-2. Composition 

    Cette allocation comprend à la fois la participation de l’Etat prévue par l’article R. 322-7-2  du Code du travail et telle que précisé par l’arrêté du 28 janvier 2005, et la contribution de  l’employeur.

    7-3. Revalorisation

    Le  salaire  de  référence  est  revalorisé  selon  les  règles  définies  à  l’article  L.161-23-1du  Code de la sécurité sociale.



    7-4. Modalités de versement

    L’allocation est versée mensuellement par l’organisme gestionnaire désigné à l’article 8 du  présent  accord  sur  délégation  de  l’entreprise.  Elle  cesse  d’être  versée  à  compter  de  la  sortie du dispositif. 

    L’UNEDIC remettra chaque mois au salarié en cessation d’activité un bulletin précisant le  montant de l’allocation.

    7-5. Régime social

    L’allocation versée aux salariés est un revenu de remplacement, qui n’a pas le caractère  de salaire.

    Conformément  aux  dispositions  législatives  et  réglementaires  en  vigueur  à  la  date  de  signature  du  présent  accord,  cette  allocation  est  exonérée  de  cotisations  de  sécurité  sociale ; elle demeure soumise à la CSG et à la CRDS aux taux applicables aux revenus  de remplacement.

    ARTICLE  8 : ORGANISME GESTIONNAIRE

    L’UNEDIC est désigné comme l’organisme gestionnaire chargé de gérer le dispositif pour  l’ensemble des entreprises de la branche qui concluront un accord de cessation anticipée  d’activité.

    ARTICLE 9 : CONDITIONS DE REPRISE D’ACTIVITÉ DANS L’ENTREPRISE

    L’employeur  pourra,  à  titre  exceptionnel,  aux  fins  d’assurer  le  bon  fonctionnement  du  service, demander aux salariés de reprendre une activité dans l’entreprise, au cours des 6  premiers mois suivant leur entrée dans le dispositif de cessation anticipée d’activité.

    En  cas  de  reprise  d’activité,  le  versement  de  l’allocation  prévue  à  l’article  7  du  présent  accord est interrompu et le contrat de travail reprend effet dans les conditions en vigueur  avant  la  suspension  dudit  contrat,  jusqu’à  ce  que  le  salarié  soit  à  nouveau  placé  en  cessation anticipée d’activité.

    ARTICLE  10 : SORTIE DU DISPOSITIF

    L’allocation  cesse  d’être  versée  lorsque,  à  partir  de  leur  soixantième  anniversaire,  les  bénéficiaires  remplissent  les  conditions  nécessaires  à  la  validation  d’une  retraite  à  taux  plein au sens de l’article R. 351-27 du Code de la sécurité sociale ou de l’article R. 351-45  du même code.

    L’employeur procède en conséquence à la mise à la retraite des salariés ayant adhéré au  dispositif de cessation anticipée d’activité.



    ARTICLE 11 : DURÉE DE L’ACCORD

    Le  présent  accord  est  conclu  pour  une  durée  déterminée  de  cinq  années  à  partir  de  la  date de son entrée en vigueur. Il cesse de plein droit à l’échéance des cinq ans. 

    De même, l’accord cessera de plein droit si les dispositions prévues par l’article R.322-7-2  du Code du travail venaient à être abrogées ou modifiées.

    Toutefois, les salariés ayant adhéré au dispositif de cessation d’activité, avant l’échéance  des   cinq   ans   ou   avant   l’éventuelle   abrogation   ou   modification   des   dispositions  réglementaires précitées, continueront d’en bénéficier. 

    ARTICLE 12 : DATE D’ENTRÉE EN VIGUEUR

    Le présent accord entre en vigueur à compter du 1er mai 2007.

    ARTICLE  13 : ADHÉSION

    Toute organisation syndicale représentative de salariés au sens du Code du travail ainsi  <o:p></o:p>

    que  toute  organisation  syndicale  ou  groupement  d’employeurs  ou  tout  employeur  pris   individuellement, non-signataires du présent accord, pourront adhérer au présent accord  dans les conditions prévues par la législation en vigueur.

    ARTICLE  14 : DÉPÔT

    Le présent accord sera déposé, à la diligence de l’ASFA, auprès des services centraux du  Ministère   chargé   de   l’emploi,   ainsi   qu’auprès   du   Secrétariat   Greffe   du   conseil   de  Prud’hommes de Paris, et ce conformément aux dispositions législatives et réglementaires  en vigueur.



    Fait à Paris, le 

    L’ASFA:

    M. Jean-Marc DENIZON   

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

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    <o:p> </o:p>

    Les organisations syndicales de salariés :

    CFDT                                                                                    CFTC 

    M. Floréal PINOS                                                                 M. Jean-Philippe CATANZARO

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

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    CFE-CGC                                         &


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  • ------------ Pour information, de la part du Réseau Alerte Inégalités, éditeur du BIP 40 --------------

    La lettre du Collectif AUTRES CHIFFRES DU CHÔMAGE n° 3 est parue. L’Unédic annonce pour 2007 un retour à de substantiels excédents. Mais la nouvelle n’est pas bonne pour les chômeurs, car elle résulte d’une dégradation importante de leurs droits : la proportion de demandeurs d’emploi indemnisés a reculé de près de sept points depuis 2003. Moins d’un chômeur sur deux est aujourd’hui indemnisé par l’Unédic. Le montant des allocations demeure faible, 80% du SMIC en moyenne ; les inégalités de traitement entre chômeurs sont importantes, particulièrement au détriment des jeunes, des précaires et des femmes. Depuis 1979, pas moins de six réformes ont progressivement réduit les droits à indemnisation, et le RMI sert de plus en plus de voiture-balai. Sur vingt-cinq ans, malgré la hausse considérable du chômage, le poids de l’indemnisation du chômage dans le PIB tend à diminuer.

     http://www.bip40.org/fr/article.php3?id_article=174


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  • mercredi 1er février : débranchez vos écrans ! sortez vos bougies ! regardez les étoiles et la pleine lune !
     
     

    Objet : s'arrêter  5 minutes le  1er février  entre 19 h 55 et 20 h 00...

    Le 1er février 2007, dans toute la France : participez à la plus grande mobilisation des citoyens
    Alliance pour la Planète (groupement national d’associations environnementales) lance un appel simple à tous les citoyens, 5 minutes de répit pour la planète : tout le monde éteint ses veilles et lumières le
                    mercredi 1er février 2007 entre 19h55 et 20h00.
    Il ne s’agit pas d’économiser 5 minutes d’électricité uniquement ce jour-là, mais d’attirer l’attention des citoyens, des médias et des décideurs sur le gaspillage d’énergie et l’urgence de passer à l’action ! 5 minutes de répit pour la planète : ça ne prend pas longtemps, ça ne coûte rien, et ça montrera aux candidats à la Présidentielle que le changement climatique est un sujet qui doit peser dans le débat politique.

    Pourquoi le 1er février ? Ce jour là sortira, à Paris, le nouveau rapport du groupe d’experts climatiques des Nations Unies. Cet événement aura lieu en France : il ne faut pas laisser passer cette occasion de braquer les projecteurs sur l’urgence de la situation climatique mondiale.
    Si nous y participons tous, cette action aura un réel poids médiatique et politique, moins de trois mois avant l’élection présidentielle !
    Faites circuler au maximum cet appel autour de vous et dans tous vos réseaux !Faites-le aussi apparaître sur votre site Internet et dans vos news letters.
    Contact/ information : Cyrielle, Les Amis de la Terre : 01 48 51 18 95.
     

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