• Salut,

    Je transmets une info donnée par Philippe Massenot.

    Les deux radios (APRR ET AREA) ont aujourd'hui le même patron. Ce dernier est venu dans les locaux de SOREALP pour inciter les salariés à aller pointer au chômage ! Il ne leur a pas annoncé comme ça, mais il leur a tout de même clairement dit d'aller chercher du boulot ailleurs.

    On vit une époque formidable,

    Je vous souhaite une bonne journée,

    Yvanne

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  •                                                            Dijon, le 5 novembre 2006,<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>

    <o:p> </o:p><o:p> </o:p>

    La Poste prive la CNT-PTT des droits syndicaux.
    Solidarité syndicale !!!
       <o:p></o:p>


    Dans un texte du 27 janvier 2006 repris par l'instruction du 24 mars 2006, signé par les directions de Force Ouvrière, de l'UNSA, de la CGC, de la CFDT et de la CFTC, la direction de La Poste impose une réforme de l'exercice du droit syndical à La Poste.

    <o:p></o:p>

    Ce nouveau droit syndical réserve toutes les possibilités d’expression aux seuls syndicats dits « représentatifs ». Les organisations plus récentes, ou qui ne se présentent pas aux élections professionnelles (comme la CNT) n’ont plus aucune possibilité d’expression.
       
    Cet "accord" ne vise pas simplement à interdire de fait la CNT-PTT,  mais aussi à réglementer la pratique syndicale et revendicative du personnel en interdisant en gros : les piquets de grève, les occupations de locaux et en justifiant la criminalisation des "débordements" sociaux...
       
    Les organisations suivantes sont solidaires de la CNT-PTT, exigent le respect de la liberté d’expression syndicale à la Poste et soutiennent la journée d'action nationale du samedi 25 novembre.
       
       
       
    Premières organisations signataires : CNT 21, CNT Éducation 21,  <o:p></o:p>

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  • Presque tous éprouvent la nette impression que quelque chose est en train de dépérir, de se dessécher en eux, que les vrais rapports humains deviennent quasi inexistants.

    À la veille d’une nouvelle année je réfléchis, les neurones tourbillonnants, à ce vide existentiel qui enveloppe douillettement notre ennuyeuse et si raffinée société française et occidentale. Allons-nous, un jour futur, comprendre qu’une société et une existence basées sur l’inessentiel, sans autres valeurs que celles de la satisfaction immédiate des désirs - parce que je le vaux bien - finiront tôt ou tard par prendre feu, littéralement? Et pas seulement de manière occasionnelle, dans la périphérie de nos villes…

    Comprendrons-nous que vide (dans le sens du creux, de l’insipide) et consommation sont les deux faces d’une même pièce de monnaie? Que la “société de consumation” nous trompe? Que l’individualisme qu’on nous vend à coup de pub fort onéreuse sur papier glacé est tout à fait irrationnel, n’ayant pas d’autre but que de nous éloigner les uns des autres, de nous empêcher de rêver ensemble et ainsi de nous désenchanter davantage encore du monde réel, afin de nous vendre l’Évasion sous toutes ses coutures, et ainsi maintenir cette société ultra-libérale qui n’a rien à faire de notre humanité, et dans laquelle notre valeur est affichée via les vêtement que nous portons, la voiture que nous utilisons, l’apparence que nous nous donnons? Saisirons-nous qu’à ce rythme-là nous n’aurons bientôt plus d’autre objectif que ceux fixés pour nous par ce système mercantile?

    Ballottés entre les cultes de l’argent, de la jeunesse, de la réussite individuelle, nous n’avons ni le temps, ni le désir de penser notre existence, notre vie. Comprendrons-nous que cela est rationnellement entretenu par les puissantes machines à faire du profit qui nous gouvernent? Leurs figures imposées, auxquelles nous avons fini par nous identifier, vivent des existences excitantes et comblées. Ces nouveaux héros ont tous autant d’argent et d’ambitions satisfaites qu’ils le désirent… et bien sûr, le bonheur, la santé, l’amour, l’équilibre, du moins c’est ce que veulent nous faire croire ceux qui ont fixé pour nous les objectifs à atteindre. Le parfait manuel des Vraies Valeurs de la Réussite a réussi à évacuer toute valeur humaniste et sociale, en s’en moquant ou en en faisant la satire, en tournant en dérision toute velléité transcendante, tout questionnement sur l’intériorité de l’humain, réduit au délire coupable d’arriérés qualifiés de néo-réac, d’adeptes de croyances obscurantistes révolues. Tout cela afin de maquiller une réalité de plus en plus tragique, celle de l’extrême solitude humaine.

    Personne n’éprouve plus pour personne la moindre sympathie - dans le sens de la souffrance partagée. Presque tous éprouvent la nette impression que quelque chose est en train de dépérir, de se dessécher en eux, que les vrais rapports humains deviennent quasi inexistants. Mais cela reste encore dans le domaine de l’imprononçable, de l’interdit. Tout comme la mort, d’ailleurs… En réalité, cette société ultra-individualiste réussit à atteindre, avec notre complicité, son seul et unique but: faire de nous des individus esseulés et donc en manque de tout, vouées à la seule recherche de divertissements, d’évasions en tout genre, qui peuvent, seuls, combler le vide de leur existence (dixit le manuel de la parfaite réussite) et donner un sens plein à la Vie. Pour parvenir à cette plénitude factice, il faut se consumer soi-même sur l’autel de la productivité sauvage, où nous sommes éjectés aussitôt après usage. Un sacrifice personnel, en somme, pour que vive le système. Voilà peut-être le secret le mieux gardé de la puissante civilisation occidentale. Fort heureusement, quelques fous, justement parce qu’ils sont fous, parviennent encore à s’en rendre compte… et à l’écrire!

    tatiana f.

    Les Humains Associés

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  • Ce que dit “La vie, l’amour, la santé sont précaires, pourquoi le travail ne le serait-il pas ? ” (Gérard Filoche, Ed Jc Gawsevitch, 285 p, 18,9 eur,) donne matiére à reprise dans la presse...

    « La réécriture du Code du travail est relancée »

    Capital.fr (03/11/2006 19:10)

    « Sans tambour ni trompette, l’Assemblée nationale a relancé, très discrètement, la réécriture du Code du travail. Le dossier est ultra sensible pour le gouvernement, après le rejet du CPE et à quelques mois des présidentielles.

    En charge du dossier à la CGT, Philippe Masson craint, à l’unisson avec d’autres syndicats, que le redécoupage en cours ne modifie profondément la compréhension du droit du travail. Or, souligne ce juriste, "une de ses spécificités est la grande place laissée à la jurisprudence". Et donc à l’interprétation des textes de loi.

    Ainsi, pour des millions de salariés et leur employeur, il pourrait devenir difficile de comprendre que l’obligation de reclassement est le préalable à tout licenciement économique, puisque ces deux éléments seront désormais séparés dans le nouveau Code du Travail.

    Autre exemple : toute entreprise doit désigner un délégué du personnel à partir de onze salariés ; un comité d’entreprise à partir de cinquante. Ces seuils sont garantis par la loi. Du moins pour l’instant, car avec la simplification en cours, le gouvernement pourrait les relever sans passer par le Parlement.

    Plus généralement, les syndicats semblent s’étonner que leurs remarques ne soient retenues. Même celle faites à l’unanimité. Ce qui surprend pas Gérard Filoche, inspecteur du travail et membre du PS : "La réécriture complète du code du travail faisait déjà partie du rapport de Virville de 2004". Depuis, le rapport rédigé par l’ancien directeur des ressources humaines de Renault sert de feuille de route au gouvernement en matière de travail. L’ambiance n’a pas toujours été aussi morose. Lorsqu’en février 2005, le ministre délégué aux relations du travail Gérard Larcher a démarré le projet de simplification du code du travail, celui-ci bénéficiait du soutien des syndicats de salariés et des organisations patronales.

    L’ordonnance devant concrétiser son nouveau code du travail n’ayant pas vu le jour avant la fin juin 2006, Gérard Larcher s’est vu offrir une seconde chance, le 11 octobre dernier, à la faveur du vote par les députés de la loi sur la Participation et l’intéressement. Ce texte de loi, pourtant sans rapport avec le droit du travail, permet au ministre de disposer à nouveau de douze mois pour présenter son projet. La nouvelle fenêtre de tir déborde même les échéances électorales de 2007.

    Trois députés socialistes - Michel Charzat, Alain Vidalies et Jean Le Garrec -, se sont opposés en séance à ce repêchage, au motif que "l’opération (...) de simplification du code du travail (...) n’a en fait pour seul objectif que de réduire la portée du droit du travail". Le rapporteur de la loi, le député UMP Jean-Michel Dubernard, a dénoncé un "procès d’intention", une instance administrative garantissant la neutralité des modifications. Tandis que le ministre Gérard Larcher a rappelé que "cette réécriture se fera à droit constant", comme la loi l’y oblige. "Malheureusement !", a même déploré un autre député UMP, Xavier de Roux. (Le figaro, 3 nov 2006) »

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  • Piron Christophe. A La Flèche, le 04 septembre 2003.
    c.piron@free.fr
    A Monsieur le secrétaire
    Général de la CFDT

    Monsieur Chérèque,

    Votre politique anti-sociale, depuis de nombreuses années a permis au MEDEF de remettre en cause les acquis sur les conventions collectives, les salaires, les reconnaissances professionnelles, les primes etc.

    Beaucoup de salariés de petites et moyennes entreprises aujourd’hui, touchent seulement le SMIC voir en dessous pour certains, signés par vos fédérations CFDT et par vos syndicats d’entreprises. Pour financer les caisses de retraites et de la caisse de sécurité sociale on fait comment ?

    Pour votre gouverne, pour l’année 2002 les 50 familles les plus riches ont touché 272 millions d’euros de bénéfices. Les patrons du CAC 40 ont touché en moyenne 13% d’augmentation de salaire pour 2002.

    Votre pratique de négociation à la CFDT : ne change pas, cela m’a pas surpris du tout :
    Vous négociez toujours en cachette comme par exemple par téléphone que ce soit sur le plan national, de branche et dans les entreprises. Vous signez sans tenir compte des revendications des salariés et de vos syndiqués. Vous adoptez la démocratie selon les méthodes du MEDEF. Le plus souvent vous signez sans examiner convenablement les accords. 99 % des accords CFDT + MEDEF = plus pour le capital, moins pour les salariés. Comme preuve Monsieur Chérèque veilliez vérifier et comparer depuis 20 ans l’évolution des salaires / des bénéfices.

    Sur les retraites : vous demandez à l’ensemble des salariés de travailler plus, pour moins toucher et dans le même temps vous avez mis en cause la retraite par répartition pour 2008, pas mal pour un syndicat qui ce dit défendre les intérêts des salariés « des choix des actes ». Vous défendez seulement les intérêts du capital aux détriments du monde du travail qui vont perdre du pouvoir d’achat tragiquement. Pour les femmes qui élèvent leurs enfants avant de renouer un travail, elles seront rémunérées comment à leurs retraites ? Pour les salariés privés d’emploi, ils font comment pour retrouver un emploi plus tôt ?

    Sur les indemnités de chômage. Vous avez encore formé un couple anti-social avec le MEDEF, qui va avoir des effets désastreux sur leurs indemnités de chômage, pour les salariés privés d’emploi des le 1er janvier 2003 y compris sur les intermittents du spectacle.
    Que Le FN de Toulon avait mis en place sur la politique culturelle de sa ville, vous et le MEDEF et François FILLON vous l’appliquez à l’ensemble de la France, l’exception culturelle à la Française et en péril. Cela aura pour conséquence la disparition de 25000 intermittents du spectacle.

    Votre comportement illustre très bien que vous défendez le MEDEF et le capital, vous avez déclaré sur RTL :
    « Monsieur BOVES devrait plus tôt défendre les intérêts des employeurs et non des salariés, car a ce jour il n’a jamais signé de conventions collectives, ceci est notre rôle pas le sien. »
    Cela vous gène vraiment que Monsieur BOVE défend les intérêts des gens qui crèvent la faim que ce soit en France ou dans le Monde, lui au moins il défend un autre concept du partage des richesses et non du capitalisme. J’ai honte pour vous Monsieur Chérèque.

    Vous avez téléphoné à monsieur François HOLLANDE, pour vous plaindre du comportement de Gérard FILOCHE Inspecteur du TRAVAIL (CGT), cela vous dérange que certains de vos membres CFDT discutent et débats aux dehors de vos instances syndicales, vous avez vraiment une drôle opinion de la démocratie Monsieur Chérèque. Je plains certains de vos syndiqués qu’ils pensaient défendrent une autre conception du partage et de la démocratie contre le libéralisme.

    Je ne pense pas que votre salaire est de seulement 457,35 euros par mois pour entériner de tels propos et de signer de tels accords Monsieur Chérèque.

    Franchement vous serez mieux comme député ou ministre UMP et non secrétaire général d’une organisation syndicale, vous trahissez trop les intérêts des salariés.

    A La flèche, le 04 septembre 03
    PIRON CHRISTOPHE

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